Une ministre congolaise salue l’initiative marocaine pour le climat du Bassin du Congo.

La ministre congolaise de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault, a salué le rôle du Maroc au sein de la Commission climat du Bassin du Congo lors d’une rencontre à Addis-Abeba. Cette réunion, initiée par le Maroc, a permis d’aborder les enjeux de la finance climat en Afrique et de souligner l’engagement du Royaume dans la lutte contre le changement climatique.

La ministre congolaise de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault, a loué, lundi soir à Addis-Abeba, le rôle précurseur du Maroc au sein de la Commission climat du Bassin du Congo. Lors d’une rencontre axée sur les questions de financement climatique en Afrique, organisée par le Maroc en Éthiopie, elle a souligné le soutien indéfectible de Sa Majesté le Roi Mohammed VI envers la Commission climat, rappelant la signature par le Souverain du protocole créant cette Commission lors du premier Sommet des chefs d’État et de gouvernement, qui s’est tenu en 2018.

Elle a également salué l’engagement de Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, Ambassadrice de bonne volonté pour la Commission climat et le Fonds bleu du Bassin du Congo, pour ses efforts en matière de financement climatique et de lutte contre les impacts des changements climatiques dans cette région.

En ouvrant cette rencontre, l’ambassadrice marocaine en Éthiopie et à Djibouti, Nezha Alaoui M’hammdi, a mis en avant l’engagement du Royaume, sous l’autorité éclairée de Sa Majesté le Roi, à soutenir et à accompagner les initiatives destinées à lutter contre les effets du changement climatique et à promouvoir un développement durable en Afrique. Elle a souligné les efforts du Roi pour la création de la Commission climat et du Fonds bleu, notant que le Maroc a mobilisé des ressources importantes pour la transition énergétique et reste prêt à partager son expérience avec les pays africains dans la lutte contre le changement climatique.

Cette rencontre, réunissant plusieurs diplomates basés à Addis-Abeba, a permis de discuter des mesures à entreprendre pour appuyer les pays africains francophones en quête d’aide financière dans le domaine du climat.