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Justin Baldoni poursuit son ancienne publiciste dans le cadre de son conflit avec Blake Lively

Dans l’affaire opposant Blake Lively à Justin Baldoni, les accusations continuent de pleuvoir. Justin Baldoni a relancé la danse la semaine dernière en accusant son ancienne publiciste, Stephanie Jones, d’avoir transmis des messages privés ayant alimenté sa bataille juridique avec la star de Gossip Girl et la forte médiatisation de cette dernière.

L’affaire a commencé quelques mois après la sortie du film de Justin Baldoni, Jamais plus, dans lequel il partage la vedette avec Blake Lively. Des rumeurs faisant état de conflits au sein de l’équipe ont été confirmées en décembre dernier par la révélation du dépôt d’une plainte par l’actrice contre le cinéaste et un producteur du film pour harcèlement sexuel sur le tournage et campagne de diffamation à son égard.

Des conflits de toutes parts

Cette plainte a été suivie d’une série d’autres, dont deux pour diffamation déposée par le réalisateur contre le New York Times, qui a révélé l’affaire, et l’actrice et son mari, Ryan Reynolds. Et dans sa dernière plainte déposée à New York la semaine dernière, Justin Baldoni accuse son ancienne publiciste, fondatrice de sa propre agence Jonesworks, d’avoir enfreint le principe du secret professionnel en partageant des communications privées saisies par Blake Lively pour soutenir sa plainte contre le réalisateur.

« Il est indéniable que Stephanie Jones a déclenché cette série d’événements catastrophiques en violant les droits les plus élémentaires en matière de protection de la vie privée, ainsi que la confiance que ses clients pouvaient encore lui accorder », a déclaré l’avocat du cofondateur des studios Wayfarer, Maître Bryan Freedman, à plusieurs médias, dont People.

Une fuite de messages

Dans la suite de son communiqué, l’avocat fait référence à un incident survenu l’été dernier avec une employée de Stephanie Jones, Jennifer Abel, dont les appareils censés contenir les messages en question ont été saisis avant son départ de l’agence. L’ancienne employée a par ailleurs rejoint Justin Baldoni dans sa plainte, décrivant une réunion tendue où l’agence l’aurait forcée à délivrer ses appareils et leur en donner accès sous peine de représailles juridiques, « violant » ainsi ses droits selon la loi sur le travail en Californie.

« Habituée à provoquer des situations de crise pour les clients qui la quittent, Mme Jones a malicieusement transmis les communications du téléphone récupéré des mains de sa propre collègue à sa cohorte (l’attachée de presse de Blake Lively) Leslie Sloane, immédiatement après que Mme Jones a été licenciée pour motif valable par Wayfarer en raison de son propre comportement répréhensible », a ajouté Maître Bryan Freedman. La plainte de Justin Baldoni et de Jennifer Abel donne suite à une autre plainte déposée par Stephanie Jones l’an dernier pour « rupture de contrat » pour l’un, et meneuse de campagne de diffamation pour l’autre.