PSG : « Quand un joueur ou une équipe se relâche, tout part en vrille », prévient Luis Enrique
Comment ne pas penser uniquement à cet excitant double choc de la Ligue des champions contre Liverpool, alors que vous comptez 13 points d’avance en Ligue 1 et que vous allez affronter un club de National 2 en Coupe de France ? Luis Enrique est cette semaine face à un cas d’école typique des difficultés à diriger ce Paris Saint-Germain roulant sur la concurrence nationale.
C’est pourquoi l’entraîneur espagnol s’est appuyé sur un discours de mobilisation sans faille, ce mardi, pour sa conférence de presse placée entre le joli succès à Lyon (2-3) et le quart de finale de la Coupe de France, mercredi (21h10) à Rennes. Il est entendu que le Stade Briochin n’obsède pas les nuits des joueurs parisiens, mais ceux-ci devront faire le job pour avoir à portée de main le classique doublé Coupe-Ligue 1, tout en rêvant évidemment plus grand.
« Le football requiert de l’exigence permanente »
« Il est impossible de se détendre, lance ainsi l’ancien coach du Barça. On va souffrir demain, il n’y a aucun doute là-dessus. » Comptez sur lui pour chasser toutes prémices de relâchement au sein du vestiaire du PSG, comme au bout de la victoire contre l’OL dimanche. Jusque-là en maîtrise totale sur ce rendez-vous, Paris a vécu un semblant de panique générale dans le temps additionnel, comme si souvent dans son histoire QSI.
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« Le football requiert des efforts continus, de l’exigence permanente, rappelle Luis Enrique. Quand un joueur ou une équipe se relâche, tout part en vrille. Ma volonté et celle de mon staff est de toujours s’améliorer. Voilà l’objectif. » Et finalement, les succès contre Espaly (N3, 2-4) et Le Mans (National, 0-2), lors des deux tours précédents, étaient loin d’être les plus tranquilles de la saison.
