Selena Gomez en larmes après les ordres d’expulsion de Donald Trump : « Tous les miens se font attaquer »
Selena Gomez a dévoilé son immense tristesse dans une vidéo dans ses Stories Instagram – depuis supprimée – face aux raids ordonnés par Donald Trump contre les migrants en situation irrégulière. Dès son retour au pouvoir le 20 janvier dernier, le 47e président des États-Unis a exhorté les agents de l’Immigration and Customs Enforcement (ICE) à arrêter et déporter toutes les personnes concernées, y compris dans des lieux dits « sensibles », comme les écoles, églises et hôpitaux, où ce type d’action était autrefois limité.
Ces ordres ont donné lieu à des images d’arrestations qui ont rapidement fait le tour de la Toile, tandis que Donald Trump soumettait en parallèle la Colombie à un bras de fer pour accepter le retour de ses ressortissants en situation illégale sur le sol américain. De son côté, Selena Gomez, qui a des origines mexicaines du côté de son père, a vu en cette situation « une attaque » de son « peuple » et n’a pu retenir son émotion. « Je voulais juste dire que je suis tellement désolée. Mon peuple se fait attaquer… Les enfants… Ils ne comprennent pas », a-t-elle lancé dans une vidéo montrant son visage profondément marqué par la tristesse.
« Je vais tout essayer »
« Je suis tellement navrée. J’aimerais pouvoir faire quelque chose, mais je ne peux pas. Je ne sais pas quoi faire », a-t-elle confié, la main tremblante au moment d’essayer ses larmes, avant d’ajouter : « Je vais tout essayer, je le promets ». Son cri du cœur ne semble toutefois pas avoir sensibilisé toute sa communauté, puisque la star d’Emilia Pérez a fini par le remplacer par un message : « Apparemment, ce n’est pas bien de montrer de l’empathie pour les gens ».
Donald Trump s’était engagé durant sa campagne présidentielle à s’attaquer à l’immigration illégale en expulsant en masse les migrants clandestins, en particulier dans les grandes villes et dans le sud du pays, près de la frontière mexicaine. L’élu a rapidement mis sa promesse à exécution, faisant expulser des centaines de personnes depuis son investiture la semaine dernière. « L’opération de déportation de masse la plus importante de l’Histoire est en cours », a posté la porte-parole de la Maison-Blanche, Karoline Leavitt, sur X/Twitter le 23 janvier.