Grève des étudiants en médecine : le nombre d’admis réduit et fixé dès 2025/2026 (Ministère)
Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a officialisé le nombre d’étudiants qui intégreront la première année des filières de sciences médicales pour l’année académique 2025-2026. Cette annonce, faite dans une circulaire datée du 1ᵉʳ décembre et signée par Abdelhakim Bentelis, secrétaire général du ministère, détaille une répartition précise des effectifs par spécialité.
Le ministère fixe le nombre d’étudiants en sciences médicales pour 2025-2026
Selon ce document, le nombre total d’étudiants admis a été fixé à 7260, répartis entre les disciplines de médecine, de pharmacie et de chirurgie dentaire. La répartition prévoit 4700 inscriptions en médecine générale, 1540 en pharmacie et 1020 en odontologie, couvrant ainsi toutes les facultés de médecine et leurs annexes à travers le pays.
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Cette décision s’inscrit dans le cadre des préparatifs pour la prochaine rentrée universitaire. Le ministère vise à répondre aux besoins en personnel de santé tout en respectant les capacités d’accueil des institutions universitaires.
Dans la circulaire, il est précisé que « le nombre d’inscriptions a été arrêté afin de garantir une formation de qualité et une meilleure organisation des cursus académiques ». Les responsables des établissements sont invités à se conformer rigoureusement aux directives de cette note pour assurer une rentrée fluide et conforme aux objectifs fixés.
Cette limitation des effectifs intervient dans un contexte où le secteur de la santé requiert une augmentation des ressources humaines qualifiées, notamment après les défis posés par la pandémie. Cependant, elle reflète également la volonté de maintenir un équilibre entre la demande croissante en formation médicale et les infrastructures disponibles.
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Le ministère réitère enfin l’importance d’une planification rigoureuse pour permettre aux nouveaux étudiants de démarrer leur parcours universitaire dans les meilleures conditions possibles. Cette initiative devrait contribuer à renforcer les effectifs médicaux tout en préservant la qualité des enseignements dispensés dans les universités.