Sylvester Stallone qualifie Donald Trump de « second George Washington »
Alors que certaines stars digèrent plutôt mal la victoire de Donald Trump à la Maison-Blanche, quelques-unes ont toutefois le cœur à la fête. Sylvester Stallone fait partie de ceux qui se réjouissent de voir le candidat du Parti républicain diriger les États-Unis pour un nouveau mandat. La star de Rocky n’a pas boudé son plaisir en présentant lui-même Donald Trump lors du gala de l’America First Policy Institute, qui s’est tenu à Mar-a-Lago, propriété du président-élu, le 14 novembre, à Palm Beach, en Floride.
« Un personnage vraiment mythique »
Et pour ce faire, l’acteur n’a pas hésité à utiliser des comparaisons avec des figures héroïques. Comme le rapporte Deadline, l’acteur de Rambo a déclaré : « Nous sommes en présence d’un personnage vraiment mythique. J’adore la mythologie. Et cet individu n’existe pas sur cette planète. Personne au monde n’aurait pu faire ce qu’il a fait, alors je suis en admiration. » « Lorsque George Washington a défendu son pays, il ne se doutait pas qu’il allait changer le monde. Sans lui, on pourrait imaginer à quoi ressemblerait le monde. Devinez quoi ? Nous avons le deuxième George Washington », a encore lancé Sylvester Stallone avec un enthousiasme non feint.
« Changer des vies, tout comme le président Trump »
L’acteur a également comparé le président à son personnage de Rocky Balboa, faisant référence à la scène d’introduction du film de 1976, qui superpose une image de Jésus et celle du héros en mauvaise posture durant un combat. « À ce moment-là, c’est une personne choisie et c’est ainsi que j’ai commencé le voyage – quelque chose allait se produire, cet homme allait se métamorphoser et changer des vies, tout comme le président Trump », a osé l’acteur. Un discours qui a visiblement réjoui un Donald Trump remonté à bloc qui a rejoint le comédien sur scène pour lui donner une poignée de main, virile forcément.
Si Sylvester Stallone était resté plutôt discret quant à ses convictions politiques, il avait déjà déclaré à Variety en 2016 qu’il « aimait » Donald Trump et le considérait comme un « grand homme », de la trempe d’un « grand personnage de Dickens », sans préciser lequel néanmoins.